\documentclass[main.tex]{subfiles} \begin{document} En sortie de l'égaliseur, on échantillonne le signal reçu. Dans ce chapitre on fera l'hypothèse: \begin{itemize} \item d'une synchronisation parfaite entre emission et réception. \item d'une égalisation parfaite de la chaine de transmission. \end{itemize} \section{Taux d'erreur binaire} Le signa reçu peus se mettre sous la forme : \[ r(t) = u(t)+ b(t) \] avec $b(t)$ brui blanc gaussien. \begin{defin} Le taux d'erreur bianire (TEB) ou bit errror rate (BER) est défini par : \[ BER = \frac{\text{ nb bit faux }}{\text{nb total bit transmis}} \] \end{defin} \begin{defin} On appelle \emph{taux d'erreur} $\epsilon$la probabilité de prendre une mauvaise décision sur l'information acquise: \begin{itemize} \item sachant les conditions de bruit ($\sigma^2$ est connu). \item en connaissant l'emplacement des seuils de décision. \item en connaissant la probabilité d'apparition des symboles. \end{itemize} \end{defin} \begin{rem} Cela permet a priori de connaitre la qualité de la transmission. Dans le cas binaire on a $\epsilon = BER$ \end{rem} \subsection{Exemple d'application} \section{Introduction du rapport signal sur bruit} \subsection{Cas d'un mot à $N$ digits} \begin{rem} Waterfilling \end{rem} \end{document} %%% Local Variables: %%% mode: latex %%% TeX-master: "main" %%% End: